Une réflexion sur « De la botanique céleste »

  1. En faisant défiler les dessins de Macoto le Japonais, j’ai une pensée respectueuse pour le géant du cinéma français, le regretté Galabru qui, quelques jours seulement avant sa mort, affirmait que tout est basé sur ce « machin ». Les artistes, certes fins et discrets, n’échappent pas eux aussi à ce piège de la nature!

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